SHZ PRA3TOR1AN
Nombre de messages : 135 Localisation : Kelke part dans le Sud.... Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Sam 13 Oct - 15:51 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Sam 13 Oct - 18:04 | |
| Ah oui j'ai deja connu ca, ca fait mal a crever ce truc!!!! Bon sinon ce soir COD2???? |
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SHZ Goon Divo Admin
Nombre de messages : 4821 Age : 44 Date d'inscription : 05/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Sam 13 Oct - 19:12 | |
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SHZ PRA3TOR1AN
Nombre de messages : 135 Localisation : Kelke part dans le Sud.... Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Mar 16 Oct - 11:03 | |
| lol !!! t ouf ??? c'est pas la gastro mais des COLYTHE et non COLIQUES !!!! mdr !! | |
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SHZ Goon Divo Admin
Nombre de messages : 4821 Age : 44 Date d'inscription : 05/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Mar 16 Oct - 19:57 | |
| oups, j'ai rien dit. donc, pour ceux que ça intersesse : - Citation :
- Généralités
Le mot colite traduit des affections parfois très variées de cette partie du tube digestif.
La colite peut avoir 2 significations selon que l’on parle de colite aiguë ou chronique.
La colite aiguë possède diverses origines :
Infectieuse (virale, bactérienne, champignon, parasite). Iatrogène (provoquée par des médicaments : laxatif irritant, antibiotiques). Radiothérapie (utilisation des rayons comme traitement). Problème circulatoire au niveau de la paroi intestinale, comme une diminution de l’arrivée du sang à ce niveau (ischémie). Classification Il existe un grand nombre de colites (liste non exhaustive) :
La colite aiguë correspond à une inflammation de la muqueuse du côlon telle qu'elle se rencontre dans différentes affections gastroentérologiques (spécialité médicale concernant l'appareil digestif) comme par exemple la rectocolite ulcéro hémorragique, la maladie de Crohn, le mégacôlon toxique, la colite due aux antibiotiques, la colite lymphocytaire etc. La colite aiguë survient également à la suite d'une infection par un virus une bactérie, un parasite. Les parasites les plus souvent concernés sont l'amibe, Shigella, Salmonella, Yersinia, Clostridium difficile et, campylobacter jejuni. Il s'agit d'affections plus ou moins graves selon les symptômes présentés par le patient. Ainsi un individu ayant une fièvre qui dépasse 38° 5, une accélération du rythme cardiaque au-dessus de 120 battements par minute, des douleurs abdominales intenses, une chute de la tension artérielle, des diarrhées avec ou sans sang, des difficultés à évacuer les selles, une perte de poids et un amaigrissement trop rapide, ce patient présente une colite aiguë grave. Dans ce cas des examens de laboratoire et plus précisément le nombre de globules blancs montre une élévation des leucocytes (leucocytose) et un syndrome inflammatoire (vitesse de sédimentation élevée, PCR élevé). Le patient peut éventuellement, selon la gravité de la colite présenter des troubles électrolytiques (perte de sels minéraux et d'oligo-éléments liés aux diarrhées). Le dosage de la procalcitonine, qui est élevée, met en évidence une inflammation liée à une infection. Ce dosage permet de faire la différence entre une inflammation de nature systémique (comme par exemple un syndrome rhumatismal) et une inflammation de nature infectieuse. L'évolution de ce type de colite se fait quelquefois vers une anémie pour laquelle les analyses de sang montrent un taux d'hémoglobine inferieur 8 g pour 100 ml ce qui signe la gravité de la colite. Le fait que le patient ne se rétablisse pas à l'aide de transfusion est un autre signe de gravité. La radiographie est l'examen de base qui montre un abdomen distendu de manière globale. Les spécialistes en gastroentérologie appellent cela une colectasie. La radiographie du côlon montre quelquefois une segmentation de celui-ci dont le diamètre dépasse 7 cm. Cet examen montre également l'irrégularité des bords du côlon ou l'on voit des images à double contour et la distension de l'intestin grêle situé en amont comportant des niveaux liquidiens.
La colite toxique se caractérise par une perte du tonus musculaire du colon dont la taille augmente (dilatation) progressivement. Les spécialistes en gastro-entérologie parlent de mégacôlon toxique.L'augmentation du diamètre survenant sur un mode aigu du colon qui a perdu sa tonicité physiologique c'est-à-dire normale est susceptible d'évoluer vers l'apparition d'une perforation et secondairement d'une péritonite puis d'un choc septique (infection grave.Le syndrome de la colite toxique s'observe essentiellement au cours de la rectocolite ulcéro-hémorragique. La colite toxique s'observe également dans la maladie de Crohn mais plus rarement.Les colites bactériennes peuvent se compliquer colite toxique. Il en est de même des colites dues à une parasitose, essentiellement l'amibiase.La radiographie avec lavement baryté, la prise d'antidiarrhéique ou d'anticholinergique sont susceptibles également d'entraîner la dilatation du colon.
La colite lymphocytaire, appelée également colite microscopique, est une pathologie gastroentérologique qui se caractérise par l'association d'une diarrhée aqueuse survenant sur une longue période, non accompagnée de modification de la muqueuse du colon (c'est-à-dire que l'endoscopie est normale). À cela s'ajoute une augmentation importante du nombre de lymphocytes situés à l'intérieur de l'épithélium (couche de cellules de recouvrement) de la surface de la muqueuse du colon et du rectum. On distingue deux variétés de colite lymphocytaire :
La forme primitive survient essentiellement chez les individus ayant dépassé la soixantaine et chez la femme. Elle est également retrouvée chez les personnes souffrant de maladies systémiques (comme la collagénose). C'est la raison pour laquelle il a été suggéré que la colite lymphocytaire était de nature auto-immune (maladie au cours de laquelle le patient fabrique des anticorps contre ses propres tissus). La forme secondaire est le résultat d'une prise de médicaments essentiellement la ticlopidine, les procinétiques, le sulfate ferreux, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ne contenant pas de corticoïdes) tels que le piroxicam. Les flavonoïdes sont également responsables de survenue de forme secondaire de colite lymphocytaire.Les patients souffrent de (liste non exhaustive) : Douleurs du colon (colite) associées à une diarrhée hydrique chronique pouvant atteindre entre 15 et 20 selles quotidienne.. Une accumulation de gaz à l'intérieur des intestins (météorisme). Les examens complémentaires et plus particulièrement la radiographie ne montre pas de lésion radiologique. Il en est même de l'endoscopie.
L'évolution de la colite lymphocytaire est le plus souvent favorable. Les prélèvements, (biopsie) effectués au niveau du colon montre montre ce que les spécialistes en gastroentérologie nomment, un infiltrat lymphocytaire prononcé c'est-à-dire la pénétration de lymphocytes correspondant à une variété de globules blancs à l'intérieur de la muqueuse du gros intestin. Le taux de lymphocytes intra-épithélial (à l'intérieur d'un endothélium de surface) est supérieur à 20 % .
Les spécialistes utilisent le terme de colite collagène quand l'infiltrat inflammatoire est associé à une bande de collagène située en dessous de l'épithélium. Cette bande devant dépasser 10 mm d'épaisseur.
Le traitement de la colite lymphocytaire nécessite l'utilisation d'antidiarrhéïques comme par exemple le lopéramide. La mésalazine est également utilisée à raison de 3 g par jour. Quand les médicaments précédemment cités sont inefficaces, les corticoïdes tels que la budésonide sont proposés aux patients.
Les colites dues aux antibiotiques.Tous les antibiotiques sont susceptibles d'engendrer la survenue d'une colite due aux antibiotiques avec syndrome diarrhéique. Néanmoins se sont essentiellement les antibiotiques à large spectre (utilisés pour de nombreux germes) et notamment les pénicillines du groupe A, et les céphalosporines et essentiellement la lincomycine et la clindamycine (par voie parentérale : perfusion) qui sont le plus souvent responsable. Seuls les aminosides par voie parentérale ne semblent pas occasionner la survenue de colite due aux antibiotiques. Cela s'expliquerait par une action nulle de ces antibiotiques sur la flore intestinale. Les symptômes présentés par les patients ayant une colite due aux antibiotiques sont les suivants (liste non exhaustive) :
Diarrhée qui apparaît durant ou après la prise d'antibiotiques. Il s'agit de l'émission de quatre à six selles par jour mal formées et dont la couleur tire sur l'ocre ou l'orange. L'autre caractéristique de ce type de selles est l'absence d'odeur fécale. L'examen des selles et l'analyse de celles-ci mettent en évidence la présence d'amidon, de cellulose digestible et l'absence de flore iodophile (colorée par l'iode). La coproculture est normale. Certains patients néanmoins ont des selles contenant du candida albicans.
Les examens complémentaires et essentiellement la radiographie avec lavement baryté ainsi que la coloscopie ne montrent aucune anomalie particulière. Le traitement de la colite bénigne nécessite avant tout l'arrêt de l'antibiothérapie et un régime pauvre en résidus. Certains gastroentérologues préconisent l'utilisation de la codéine si nécessaire. Pour d'autres des préparations contenant des lactobacilles tués sont suffisantes pour traiter les patients. Anatomie Le côlon fait suite à l’intestin grêle, et il est suivi par le rectum. On distingue trois parties au colon :
Le côlon droit, ou ascendant, qui débute par le cæcum à la jonction iléo-cæcale. Le côlon transverse. Le côlon gauche, ou descendant, qui se termine par le rectum. Symptômes Les symptômes correspondent généralement à un colon irritable. Le patient se plaint généralement de douleurs abdominales associées à une diarrhée ou à une constipation, l’émission de gaz n’étant pas toujours la règle.
La colite chronique est la traduction d’affections telles que la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique.
La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique intestin dont l’origine est inconnue. Elle atteint environ 3 à 6 personnes sur 100 000 et touche tous les âges. Cette affection intestinale touche plus particulièrement l’intestin grêle (segment terminal), le côlon et l’anus. Quand on effectue une biopsie de la paroi des parties touchées par la maladie de Crohn, on observe des ulcérations (pertes de substance d’une muqueuse, ayant tendance à suppurer), et un épaississement.
Les symptômes de cette maladie sont les suivants :
Diarrhée. Anémie. Perte de l’appétit. Amaigrissement. Asthénie (fatigue). Abcès au niveau de l’anus (peu fréquent). Occlusion intestinale. Uvéite (inflammation oculaire). Spondylarthrite (inflammation de la colonne vertébrale). Le diagnostic de la maladie de Crohn se fait grâce aux examens biologiques, aux radiographies de l’intestin et à la rectosigmoïdoscopie. Ce dernier examen permet de visualiser directement l’épaississement de la paroi de l’intestin et la présence des ulcérations. Le traitement fait essentiellement appel aux médicaments à base de cortisone et de salazosulfapyridine. L’utilisation des immunosuppresseurs se fait uniquement en cas de maladie de Crohn rebelle à ces médicaments. La chirurgie, quant à elle, est indiquée uniquement en cas de complications (fistule, occlusion, hémorragie grave) mais également dans les formes résistant au traitement précédent.
La rectocolite hémorragique est due à l’inflammation chronique de la muqueuse du côlon et du rectum. Sa cause est inconnue pour l'instant et elle se caractérise par l’émission de mucus (sécrétion protégeant les muqueuses de revêtement de ces deux organes) et de sang par l’anus. Cette affection, relativement rare, atteint essentiellement la jeune femme, avec une préférence pour les pays anglo-saxons et scandinaves (Norvège). Elle s’associe le plus souvent à une affection inflammatoire des articulations vertébrales : la spondylarthropathie.
Les symptômes de cette maladie sont :
Selles fréquentes (jusqu’à 10 à 12 par jour). Emission de sang et de mucus accompagnant les selles. Douleurs abdominales. Fièvre. Troubles digestifs. Altération de l’état général, fatigue. Aphtes buccaux. Erythème noueux. Ulcères de jambe. Inflammation oculaire (de la choroïde, de l’iris, du corps ciliaire). Spondylarthropathie (inflammation des articulations des membres, du bassin et du rachis).
Le diagnostic de la rectocolite hémorragique se fait essentiellement grâce à l’exploration du rectum et du côlon au moyen de la coloscopie. L’utilisation du coloscope (constitué d’un tube muni d’un système optique) permet de voir l’hémorragie due à l’inflammation de la muqueuse, mais également de faire le point sur l’étendue des lésions. D’autre part, la coloscopie permet également d’effectuer des prélèvements de tissu intestinaux indispensables à la surveillance de l’évolution de la maladie et à la recherche de lésions précancéreuses.
Le traitement de la rectocolite hémorragique nécessite de suivre un régime sans fibres ni lactose, uniquement pendant les crises. La consommation d’aliments à base d’épices et de fritures est fortement déconseillée. Les médicaments utilisés sont :
Les antiseptiques intestinaux. Les anti-inflammatoires (par voie buccale ou par lavements). Les corticoïdes, essentiellement pendant les poussées. La sulfasalazine ou mésalazine. Les immunosuppresseurs (azathioprine, mercaptopurine) dont l’indication est controversée, sont parfois utilisés quand les corticoïdes sont mal supportés. Les transfusions sanguines en cas d’anémie importante. Dans les formes sévères, une ablation du côlon est parfois nécessaire, tout particulièrement quand il existe des risques d’hémorragies massives ou quand le rectum est source de pertes sanguines importantes, nécessitant d’effectuer un anus artificiel (iléostomie définitive). Psychologiquement mal acceptée par le malade, cette intervention permet néanmoins de supprimer définitivement tout risque de cancer. Il est parfois possible d’envisager une intervention respectant l’anus, consistant à effectuer une anastomose de l’intestin sur le rectum. Environ 80 % des cas des rectocolites hémorragiques procèdent par poussée évolutive entrecoupées de rémission. <p>La cancérisation est relativement rare. | |
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shz kakashi Pause caca
Nombre de messages : 4008 Date d'inscription : 26/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Mar 16 Oct - 20:59 | |
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SHZ kaneshiro Admin
Nombre de messages : 1849 Age : 48 Date d'inscription : 26/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Mer 17 Oct - 9:07 | |
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SHZ Goon Divo Admin
Nombre de messages : 4821 Age : 44 Date d'inscription : 05/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Mer 17 Oct - 11:08 | |
| nan,nan, c'est sortit comme ça...ça vient de moi, et ma petite tête et oui! vive le copier-coller | |
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SHZ Mathurin Tokio Hotel fanatik!
Nombre de messages : 1344 Date d'inscription : 27/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Mer 17 Oct - 16:24 | |
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SHZ Nemesis
Nombre de messages : 2186 Age : 41 Localisation : Nord Date d'inscription : 01/07/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Jeu 18 Oct - 16:06 | |
| moi mapartie préférée c est l anus ! | |
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Daffy Duck
Nombre de messages : 682 Localisation : ...DTC... Date d'inscription : 26/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Jeu 18 Oct - 17:00 | |
| Mon pauvre Goon, t'a "encore" taper à coté ... Praetorian te parle de "Colite Nephretique", pas de chiasse ou autre.... - Citation :
- Habituellement le terme colique désigne ce qui se rapporte au côlon. La colique néphrétique quant à elle est constituée de spasmes secondaires à la distension d'un composant ou de plusieurs composants de l'appareil urinaire (rein, uretère, vessie, urètre). La caractéristique majeure de la colique est la répétition d'accès douloureux très violents entrecoupés d'épisodes d'accalmie. Physiopathologie (mécanisme)
Tout obstacle empêchant l'excrétion et l'évacuation normale des urines vers l'extérieur du corps est susceptible d'être à l'origine d'une stagnation des urines dans le rein ou dans les voies excrétrices. La compression peut provenir de l'extérieur, on parle alors de compression extrinsèque. Ce sont les calculs qui sont la cause la plus fréquente de colique néphrétique. Les rétrécissements d'origine inflammatoire ou pas (cicatriciels) comme entre autres ceux survenant après une intervention chirurgicale sont également des causes d'obstacle à l'élimination des urines. Les principales causes d'obstruction d'origine extrinsèque au passage des urines sont les tumeurs et tout particulièrement les tumeurs gynécologiques, les ligatures chirurgicales accidentelles, les oedèmes (épanchement de liquide) et les hématomes (collection de sangs).... ect...
Franchement, je ne connais pas puisque j'en ai jamais eu mais cela doit être très douloureux... | |
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SHZ Goon Divo Admin
Nombre de messages : 4821 Age : 44 Date d'inscription : 05/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Jeu 18 Oct - 22:52 | |
| merci pour ces précisions! | |
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SHZ PRA3TOR1AN
Nombre de messages : 135 Localisation : Kelke part dans le Sud.... Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Ven 26 Oct - 16:12 | |
| Kikoo !!! je suis toujours vivant mes amis J'espere que tout le monde vas bien ici ? Hé Daff, trop fort ton résumé cousin !!! Sinon ben ça và et j'ai hate le 8 Novembre pour vous savez quoi !!!! Qui c'est qui veut une piqure ??? | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Ven 26 Oct - 18:46 | |
| le 8?? moi je croyais que c'etait le 9!! enfin bon tant mieux dans ce cas!!! on va enfin pouvoir reprendre du service!!! |
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SHZ Goon Divo Admin
Nombre de messages : 4821 Age : 44 Date d'inscription : 05/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Ven 26 Oct - 19:05 | |
| alors PRA3TOR1AN, tu es de retour? | |
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shz kakashi Pause caca
Nombre de messages : 4008 Date d'inscription : 26/06/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Ven 26 Oct - 20:36 | |
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SHZ PRA3TOR1AN
Nombre de messages : 135 Localisation : Kelke part dans le Sud.... Date d'inscription : 19/09/2007
| Sujet: Re: PRA3TOR1AN Mar 30 Oct - 23:58 | |
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